Naré, La croisée des Vents
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Venez découvrir le monde fantaisique de Narée. Voyager au coeur de l'archipel où la croisée des vents réunie les peuples du monde entier dans cette ruée vers l'or.
 
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 Le débarquement d'Alaria

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2 participants
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Alaria
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Alaria


Messages : 7
Date d'inscription : 01/08/2018

Le débarquement d'Alaria Empty
MessageSujet: Le débarquement d'Alaria   Le débarquement d'Alaria EmptyMar 30 Juil - 23:45

Je m’appelle Galaria et ce que je vais vous compté est mon histoire,  tout commence par une chaude nuit d’été sur Inrionmer, dans une île tout au sud-est de la carte. En face de nous figure le gros désert Amnchult, mais il y fait bien trop chaud pour une elfe noire comme moi. Je préfère de loin ma foret calme et tranquille aux allures tropicales et exotiques, enfin ça c’est quand on est pas envahi par d’autres races pour nos ressources rares et précieuses, les humains appellent ça la colonisation.  

j’ai toujours vécue en petit groupe, la société actuelle étant totalement inconnue pour moi, mon clan est issu d’un petit village caché dans les montagnes de la foret. Dont seule notre tribut en connaît l’accès, je suis une fille unique, et j’ai commencée très tôt à savoir me débrouillée dans la nature hostile, à cueillir et à chasser.    

Les rares humains qui s’aventurent au de là des sentiers battus finissent bien souvent attachés à nos broches et mis au dessus du feu, car oui, nous mangeons aussi des humains  c’est pour nous un met des plus délicats et raffiné qui soit. Si tu me vois t’observer avec de gros yeux rond tu devrais te méfier, peut-être que je te vois comme un poulet sur patte, prêt à être cueilli une fois bien engraissé.  

Un beau jour, alors que j’étais en pleine chasse un humain s’est aventuré trop loin de ses terres et je l’ai mangé, mais ce que j’ignorais c’est que celui ci était le leader de la troupe ennemis et tous leur soldat se sont mis à ma recherche, ils ont fini par m’avoir, car toute seule face à 50 soldat, armé et entraînés, tu ne fais pas long feu. Surtout si tu voyages en nomade comme moi, je ne connaissais pas le terrain et je me suis faite avoir par surprise.  Alors que je roupillais pendant la journée.  

Pendant mon sommeil, je me suis faite mettre aux fers dans un bateau, je suppose qu’ils voulaient m’emmener pour me juger afin que je réponde de mes crimes, alors je fin l’indifférence et l’innocence et je convainc le capitaine de m’embaucher pour divers travaux pratiques, comme je suis intimidante, les mauvais payeurs, les fouteurs de troubles, et j’en passe n’ont qu’à bien se tenir, il m’a même rendu ma dague, ma monnaie, mes affaires personnelles, maintenant je suis comme une membre d’équipage à part entière, comme j’ai une bonne vue je suis souvent utile à la navigation dans les zones à risques et le fait que je sois active la nuit leur donne un atout supplémentaire de ne pas me garder au fond de cette cale, comme un rat d’égout.  

Je suis donc en sursit, si je fais une connerie, je suis aussitôt renfermée et ils me maîtrisent avec du poison, ils n’ont peur de rien, si ils savaient que mes flèches le sont également, ils feraient moins les malins à me redonner mon arc.    


Alors que le bateau remonte vers le nord, en passant proche du continent du désert, le courant marin nous déporte au large, on est complètement dévié de notre trajectoire d’origine, le batelier décide de faire une escale sur une archipel visible au centre de la carte.    

Le bateau se frotte à une violente tempête et il n’est pas prévu pour les hauts profondes, autrement dit, il prend des dégâts de partout ce jour là. La foudre s’abat, le brouillard est épais, les vagues sont hautes, dans notre jargon on dirait que la mer est en colère.  Et c’est peut-être le cas, une grosse vague survient et le bateau chavire, je me construit un radeau d’urgence afin de ne pas couler et je m’y agrippe de toute mes forces en priant Gaïa de toutes mes forces.  


Quand je rouvre les yeux, j’arrive à ce qui semble être un petit port, mais bien des bateaux y sont amarrés, je nage jusqu’au quai le plus proche et au moment ou je m’assois par terre pour récupérer mes forces et je suis trempée. Mon armure légère a tenue le coup, mais il ne reste rien du bateau à part quelques planches tout au plus.  

Soudain en face de moi j’aperçois une étrange créature verte accompagné de deux grand gaillard… Sûrement pour la sécurité. Il sort un parchemin et fronce les sourcils, avant de prendre la parole.  

« vous êtes sur le port d’Apud, vu votre embarcation vous n’êtes pas du coin, votre nom s’il vous plaît ? » ronchonne t-il.  

-Je m’appelle Alara.    

Il griffonne sur son parchemin, comme je suis certainement recherchée on va éviter de trop en dire sur mon prénom et mes origines, on va aller au plus concret.
 
Le gobelin m’observe de la tête au pied, je suis plutôt grande, je fais 1 mètre 83, j’ai des cheveux gris foncé teintant légèrement vers le blond, j’ai des oreilles pointues, j’ai des yeux perçant orange, j’ai un tatouage en forme de zigzag au niveau de l’oeil gauche, enfin, c’est génétique, j’ai toujours eu cette marque me rendant encore plus flippante, j’ai une armure légère, la peau très sombre proche du noir et du gris et du violet, mon arc est visible au dos ainsi que mes flèches. Mon sac est posé au sol mais on ne peut pas voir ce que j’ai sous le vêtement de mon armure.  Et j’ai des bottes en cuir.  

Le gobelin reprend alors avec ses questions stupides, j’essaie de le suivre et de tout traduire dans ma tête, car moi et la langue humaine ça fait deux. Je lui répond au plus court.  

-je suis une femme de 38 ans, je suis ce que vous appelez  une elfe  et  mon pays d’origine c’est Amnchult, quant à ma raison du séjour, c’est simplement que mon navire à échouer non loin d’ici. Je compte rester ici un moment.    

Il griffonne tout ça et me tend alors un bout de papier, je le prend et il s’en va en m’indiquant que je peux aller me restaurer au comptoir de la pieuvre en ville. Je remet ma capuche pour passer incognito et je suis alors le sentier de terre qui quitte le port un peu chancelante et je me dirige droit vers l’amas de maison du village. Une fois arrivé en ville, je demande à un passant en me léchant les babines, mais je reste discrète. Le but n’étant pas de me faire remarqué à peine arrivée.  

Après avoir suivi ses recommandations, je me dirige vers ce qui semble être, une auberge je vois une pieuvre dessinée sur un écriteau de bois et je pousse la porte du bâtiment, heureusement que j’ai apprise quelques réflexes humains au cour de ma traversée.  Dans l’auberge les gens sont joyeux, ils mangent, ils chantent et moi je me rend au comptoir, le tavernier me salue avec un grand sourire, et je lui donne le papier du gobelin, il le regarde et en plus de quelques piécettes que je sors de ma bourse, je peux avoir un bon repas humain.  Il passe la commande et s’appuie au bar.

-T’es nouvelle en ville ? Tu viens d’où ?  raconte un peu ton histoire.      

Je suis méfiante et je n’ose pas trop parler, il reprend alors la parole en me faisant une tape amicale dans le dos.    

-oh aller, soit pas timide, cela restera entre nous. Héhé.      
-Soit…  je prend une profonde inspiration et je fais comme les humains je m’appuie au comptoir…  
-je viens du désert Amnchult et je m’appelle Alaria, mon navire était un navire d’exploration, mais celui ci à couler à cause de la tempête, nous avons décidé de faire une escale ici pour reprendre des forces se ressourcer et pourquoi pas développer de nouvelles compétences.  
-je vois, je vois intéressent, des compétences dans quoi vous savez ?  
-pourquoi pas un savoir paysan, savoir cultiver la terre, faire pousser des trucs, des « légumes », ect.    
-oh, vous avez frappé à la bonne porte, ici il y a justement un endroit pour apprendre cela, je suis sur que vous évoluerez rapidement. C’est sympathique tout ça ! Bienvenue à Apud madame.  
-merci.  
-oh on m’annonce que votre repas est prêt, je vais vous le chercher. Désirez vous une bière ?
-Ho, euh oui merci.  

Il me donne tout ça et je peux enfin profiter d’un bon repas chaud, j’en profite pour réserver une chambre pour la nuit et l’aubergiste m’apporte ma bière par la même occasion, je la regarde avec curiosité, car je n’en ai jamais bu, cette couleur et ces bulles c’est fascinant, je me demande qu’elle technique ils utilisent pour parvenir à ce résultat, j’observe les autres, ils boivent tous ça avec une telle énergie, ça ne doit pas être empoisonné, j’empoigne ma choppe à pleine main et je commence à la descendre ….
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Naré
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Messages : 27
Date d'inscription : 30/07/2018

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MessageSujet: Re: Le débarquement d'Alaria   Le débarquement d'Alaria EmptyMar 30 Juil - 23:46

Validé !
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